LECTURES – PENSEES - REFLEXI

Courez, courez !


Votre sport préféré développe bien plus que votre corps. En effet, l’exercice physique, et particulièrement le running, stimule la création de nouvelles cellules nerveuses et les vaisseaux sanguins dans le cerveau. Des études ont d’ailleurs démontré que l’exercice peut aider à augmenter le volume du mésencéphale (qui contrôle la vision l’audition) et l’hippocampe (qui est lié à la mémoire et à l’apprentissage). Au-delà du développement, votre boîte grise vieillira mieux : la course affecte les neurotransmetteurs, d’où un cerveau en meilleure santé que la moyenne, avec une plus grande efficacité métabolique et une plasticité neuronale. Dans la même veine, plus vous êtes en forme, et plus vous aurez de facilité sur des exercices de mémoire. Un coureur sera donc beaucoup plus susceptible de se concentrer sur une longue période et jongler avec plusieurs tâches. Enfin, la course à pied favorise la libération de bien-être grâce aux substances chimiques appelées endorphines. En outre, comme de nombreux antidépresseurs, la course permet la stimulation des neurotransmetteurs, la sérotonine et la noradrénaline. Une étude a d’ailleurs dernièrement démontré que des gens courant en parc avaient une activité cérébrale similaire à des personnes pratiquant la méditation.

Alors, n’attendez pas. Courez, courez, courez !


Libres de courir !

 

Séance de projection du film "Free to Run" ce mercredi 1er juin à Dinant, Salle Bayard, Centre culturel régional de Dinant.

"Hello les amies et amis,  La plupart d’entre vous n’ont pas connu cette époque où il fallait quasi se » battre »pour pouvoir courir librement.En 1966,nous étions 15 au départ du semi-marathon d’Arville…et c’était un succès !Chaque semaine maintenant,dès la reprise des allures libres(ce 22 janvier en Gaume,mais aussi ce 8 janvier à Suxy et le 15 janvier pour la course relais du »vin chaud » à Neufchâteau)ce sont de 500 à 700 sportifs et sportives(quand ce n’est pas plus)qui courent pour le plaisir sur nos magnifiques sentiers.N’hésitez pas à regarder cette bande-annonce,puis enfiler votre training et lacer vos godasses.Plein de bonnes courses à toutes et tous.Bien amicalement." Christian Liégeois

LE film avance, qui dit le temps d'où nous venons, nous les coureurs. Et qui conte le combat mené pour nous affranchir de tas de contraintes aberrantes. Un exemple: interdiction de boire de l'eau durant la course avant le km 20... Sinon? disqualification! Interdiction de courir sur route hors de périodes strictement limitées... Interdiction faite aux femmes de courir plus de 3-4 km, et seulement en cross-country... Interdiction aux jeunes... interdiction aux vétérans... C'est un temps où même la quasi-totalité des médecins ignoraient les bienfaits de la course à pied... Un exemple: il y a plus de 50 ans, le Suisse Yves Jeannotat, excellent coureur sur piste (10 000 m) se présente au départ de la course Morat-Fribourg (16 km 400 sur route). Contrôle médical... "Vous avez un coeur trop gros", dit le médecin de service, qui sans doute n'avait encore jamais eu affaire à un coeur sain qui battait si lentement. Notre coureur dut, pour avoir le droit de prendre le départ, signer une "décharge", déclarant ainsi qu'il allait courir sous sa seule responsabilité...Moins d'une heure plus tard, il remportait la fameuse épreuve. Tous ces "forbidden", ces "streng verboten", etc. faisaient de notre course un plaisir plein d'interdits, de chicanes. En haut lieu, et dans le monde entier, on avait décidé que la course à pied était belle seulement quand elle produisait des performances et des médailles.

Nous fûmes alors quelques-uns, très très rares, à ne pas accepter les diktats, à nous rebeller, à combattre s'il le fallait, pour défendre notre idée de la course en liberté. Ce que nous voulions, surtout, c'était courir par plaisir, et partager ce plaisir. Bref, courir pour se faire du bon sang, avec ou sans performance à la clé...

C'est ce que raconte ce film. Notre combat, victorieux, pour avoir le droit de courir en toute liberté, c'est-à-dire où et quand nous aimions le faire Voici ce qu'ils appellent un trailer, sorte de bande-annonce destinée aux producteurs.

Qu'on se le dise! Mieux: ... Courez-y! LIBRES DE COURIR


Run, run, run ! :-)

(envoyé par Christian Liégeois, marathonien des années70/80 et chantre belge de l'esprit Spiridon )

"Il fut un temps où les adeptes de la course à pied faisaient du footing. Puis ils se sont mis à faire du jogging. Aujourd’hui ils font du running. Je viens de l’entendre à la radio : «Le running marche de mieux en mieux.» Disons même qu’il court. Car le running est en plein running. Attention ! Rien à voir avec le footing ou le jogging. Le footing, c’est du petit trot pépère en survêt crasseux, cool Raoul, relax Max. Le jogging, une course du dimanche, un peu plus sportive que le footing, mais tout de même un truc d’amateur. Alors que le running, c’est un truc de pro. Les runners ne sont pas là pour rigoler. Mais pour performer. Il suffit de les voir, chaussés de leurs baskets orange ou jaune fluo, serrés dans leurs vêtements «intelligents» bourrés de gadgets qui mesurent leur tension, leur vitesse, leur fréquence cardiaque ou leur cholestérol, runnant comme des malades. Mais voilà que j’apprends que l’avenir serait au «rétro-running», soit le running en marche arrière, excellent pour le système cardiovasculaire. Tel est l’homme d’aujourd’hui, courant vers l’avenir à reculons." Alain Rémond, La Croix, 21 avril 2015 - transmis par l’abbé Charles Monsch, ex-journaliste, archiviste et spiridonien.


LECTURES

 

Les Géants de la Course à pied par Noël Tamini


Des histoires effarantes, la plupart inouïes, certaines ignorées, d’autres à peine effleurées. Les coureurs de marathon, tout d’abord. Abébé Bikila, fier Éthiopien aux pieds nus, happé par un destin tragique… Avant lui, le Français Mimoun, phénomène de ténacité… Zatopek, pionnier grimaçant, « un saint », dira Mimoun… Plus avant, on s’y perd déjà un peu. Raison de plus pour dire l’Argentin Zabala, un orphelin, vieilli pour les besoins de la cause, olympique… Et cet El-Ouafi, médaillé d’or en 1928, miséreux devenu, abattu par erreur… En outre, qui a jamais dit, rarissimes photos à l’appui, le drame du Portugais Lazaro, mort au bout de la nuit d’après le marathon des Jeux de 1912 ? Parle-t-on encore de l’Italien Dorando Pietri, en tête sur la ligne d’arrivée du marathon des Jeux de Londres, en 1908, et puis disqualifié parce qu’alors soutenu par des officiels ?

Nous voici à Spiridon Louis, énigmatique vainqueur du premier marathon, en 1896. C’est ce Grec, porteur d’eau, qui aura fait le plus pour la cause du marathon, et donc pour celle des Jeux Olympiques, soudain populaires, et, finalement, pour la course à la portée de tous. Extrait d’une feuille grecque de 1896, le reportage du premier marathon méritait bien d’être exhumé. S’y ajoutent des lettres que l’Australien Flack écrivit à son père. Flack ? En tête au 30e kilomètre, mais au bout du rouleau, il avait vu passer notre Spiridon, l’air frais comme un gardon…
Tant d’autres histoires, troublantes ou merveilleuses… Ainsi, à propos du Finlandais Nurmi, le coureur aux sept médailles d’or, disqualifié pour avoir touché trop tôt de l’argent pourtant bien mérité. Imagine-t-on un génial sourcier puni pour avoir bu de son eau ! Selon un érudit finlandais, contrairement à sa légende « Nurmi aimait plus les femmes que les médailles d’or… »
Autre histoire insolite, celle du Portugais Dias, un surdoué qui, les pieds en sang, dut un jour chausser les bottines d’un gars des Jeunesses hitlériennes… Ou encore Guillaume Tell, un Provençal, qui se régalera à conter le temps où il brûlait le dur, avant de recevoir pour prix… un extincteur. Et ce Saint-Yves, dont la course, à Londres, était celle de garçons de café; et puis il remporta les plus grands marathons, avant de se retirer, fortune faite, à 21 ans! Il y en a bien d’autres, parfois chuchotées au coeur de la nuit, à la seule clarté des étoiles. Ainsi l’Éthiopien Biratou disant pourquoi, sélectionné pour le marathon des Jeux de 1956, il refusa d’y aller. Et puis par quel coup du sort, désigné pour le marathon des Jeux de Rome, il dut céder sa place au futur vainqueur, Abébé Bikila.


OMBRES ET LUMIERES, LE SPORT EN CHINE


D’avril 2005 à décembre 2007, Gilles Bertrand journaliste à VO2 Runinlive a sillonné la Chine pour réaliser une grande enquête sur le sport chinois.
D’école en école, de stade en stade, de compétition en compétition, de rencontre en rencontre, il a ouvert une à une les portes de ces lieux secrets pour mieux comprendre la réalité du sport chinois. A quelques mois des J.O. de Pékin, il sort ainsi un livre témoignage sur cet empire du sport.
Tous les grands sports chinois sont traités. On pénètre ainsi un à un l’univers très secret des salles de ping pong, des gymnases, des vélodromes, des salles de boxe. On reprend la route et on découvre que la Chine s‘éveille à l’escalade, à la course d’orientation, à tous les sports de combat.



HIMALAYA - COURIR LE CIEL
Les voyageurs du continent montagne


Un continent, un acte et un lieu. Trois mots et un livre pour découvrir le continent Montagne avec un regard différent. Celui des voyageurs qui ont choisi l’énergie d’un autre mouvement afin de courir le ciel. Du Népal au Ladakh, en passant aux pieds des plus hauts sommets du monde, Chevaliers du Vent et Amazones du Ciel ne font qu’une communauté au sein de l’Himalaya. Tout là-haut, sur les Chemins du Ciel, où l’air se fait rare, où l’Être n’a sa place que le temps d’un acte, d’une course, d’un rêve…
Ces hommes et ces femmes courent, portés par cette pensée de Bouddha. « Il n’y a point de chemin vers le bonheur, le bonheur est le chemin. » C’est ainsi que leurs foulées se déroulent, à l’image de pages qui se tournent. Une parenté entre le cheminement du coureur et la lecture d’un livre.
« Himalaya – Courir le Ciel » est le livre de ces voyageurs du possible. Un ouvrage physique et philosophique. Une œuvre humaine et aventureuse. Un recueil d’histoires et de témoignages. Bons voyages au Pays où les Chevaux du Vent n’achèvent jamais leur course…



" Dans ma foulée " - Jules Ladoumègue 

Ed. Amiot-Dumont Paris 1955

Une autobiographie du fameux coureur de fond français disqualifié pour professionnalisme ... De superbes pages pleines d'émotion et de courage!
Préface de Jean Giraudoux - Extrait ... : " Un champion est la raison et le but du sport. Il est aussi irraisonnable de dire que l'objet du sport est seulement de donner un peu de muscle à chaque sportif, de répartir le souffle et l'adresse entre tous les Français et non de produire des athlètes exceptionnels, que de dire que l'objet de l'instruction est d'apprendre à lire et à écrire à tous et non de produire des penseurs et des écrivains. Le sport sans ses champions serait seulement ce que serait notre littérature sans ses auteurs. "


" Ah! Courir! Mais Courir ... "

Jean Joannes - Ed. De l'Ardoisière 1984

Un recueil d'aphorismes, de pensées. Un petit livre plein d'humour et de philosophie. Extraits : "Courir sans aller nulle part mais obligé quand même d'en revenir", " Etre heureux de courir implique nécessairement qu'on le soit de vivre ", " La course nous précipite à l'inconfort dans lequel l'âme prend son pied".


" L'art de réussir dans la course de fond " 

Serge Cottereau -1984

Un des premiers ouvrages techniques sur l'entraînement en course à pied. Très pratique, basé sur l'expérience.


" La grande course de Flanagan " 

Tom Mc Nab - 1983 -Ed. Robert Laffont: Le récit romancé de la course Los Angeles -Denville-New Jersey 5021 km - disputée en 1931 par plus de 1000 coureurs! Une superbe épopée!


"Jogging - Courir à son rythme pour vivre mieux "

de James Fixx Ed. Robert Laffont

La bible du jogging aux Etats Unis - La course à pied comme philosophie - Mon classement n°1


"Coureurs, Si vous saviez... "

de Noël Tamini aux Editions Spiridon


" La course de longue vie "

du même auteur aux Editions N.Tamini 

Comment bien appliquer les secrets des Hunza et des super-centenaires du Caucase et de l'Equateur, afin d'y intégrer à merveille la course, la randonnée, le vélo…


" La course à pied pour tous "

aux Ed. Amphora.

Toujours de N.Tamini, son premier livre et mon n°2 au classement Un vrai guide pratique de A à Z. La bible européenne!


" La rage de courir "

de Michel Bernard aux Editions Calman-Levy.

25 années de course à pied de ce super coureur sympa du Nord de la France. Dur, émouvant, plein de souffrances et de petits bonheurs.


" La saga des pédestrians "

de Noël Tamini (encore lui); chez Edior Editions.

La course de la nuit des temps à 1896. L'histoire exhaustive de tout qui a couru un jour sur terre. Littéralement passionnant! Mon n° 3


Jamel Balhi


Depuis plus de vingt ans Jamel Balhi, journaliste, photographe, coureur et représentant de l'UNESCO, effectue de fantastiques parcours solitaires, parmi lesquels un tour du monde en courant. Par monts et par vaux, à raison de 60 à 70Kms par jour, il a maintenant plus de 280000 Kms au 'compteur' !
Il nous raconte, dans son dernier livre, 'Au Cœur des Amériques' sans jamais s'attarder sur l'exploit physique que cela représente, sa dernière chevauchée, qui l'a mené de l'Alaska à la Terre de Feu.
Toujours à la recherche de sa 'route personnelle il ne s'encombre pas de fausse modestie mais nous relate, simplement et humainement, les événements marquants de son périple. Dans sa quête des vrais contacts humains il côtoie les plus pauvres, se nourrit d'un peu de soupe en sachet et de ce que veulent bien lui donner les gens qu'il rencontre, pose son sac de couchage aux endroits les plus inattendus.
Ce n'est pas le récit d'un séjour touristique d'un routard en mal de sensations fortes : c'est une plongée au cœur de la misère, matérielle et psychologique. Ayant risqué plusieurs fois sa vie pendant ce voyage, Jamel est le témoin 'privilégié' de la violence banalisée, des dégâts occasionnés par le tourisme de masse, de la mondialisation de l'économie, des ravages de la drogue.
Mais son livre peut aussi être interprété comme un témoignage de solidarité, et un vibrant appel à l'amitié et au respect (d'autrui et de la nature)
Un récit fort, d'un homme exceptionnellement vrai.



COURIR AU NATUREL


C’est un livre très innovant que notre rédaction publie. « COURIR AU NATUREL » est un ouvrage rédigé par Sylvain Bodiot, naturopathe, iridologue, coureur à pied, et rédacteur chaque mois d’une rubrique santé/nature dans VO2. Il est destiné à apporter aux pratiquants de la course à pied des conseils « naturels » pour aborder au mieux leur sport et pour inscrire cette pratique dans une optique forme/santé.



LE PLAISIR DE COURIR AU FEMININ

Les femmes sont de plus en plus nombreuses à courir, tant ce sport se révèle simple à pratiquer et facile à intégrer dans leur vie quotidienne. Car la vie d'une femme "moderne" relève souvent d'une course permanente. Les enfants, les obligations ménagères, le travail, autant de choses qui contraignent une femme à tout mener en parallèle, surtout qu'elle se sent souvent obligée de connaître la réussite dans tous les domaines...




AFRICA, La route de l'Endurance


Depuis plus de 30 ans, Gilles Bertrand journaliste et créateur de VO2, sillonne l'Afrique. Une histoire d'amour et de coeur qui se traduit par un nouveau livre "AFRICA, la route de l'endurance".
Du Maroc jusqu'en Afrique du Sud, il est reparti enquêter sur cette route de l'Endurance, à la rencontre de ces coureurs qui cultivent l'excellence pour se construire un monde meilleur.



LA GRANDE COURSE DES TEMPLIERS : LA LEGENDE DU TRAIL

Lorsqu’en 1995, 500 coureurs s’élancent pour la première fois sur les chemins du Larzac, on n’est loin de penser qu’une économie du trail puisse devenir aussi puissante, on n’est loin d’imaginer que l’on puisse suivre à la trace, via internet, un coureur évoluant sur les cimes alpestres. On parle alors de liberté, on fustige les primes d’arrivée, on s’émancipe de la FFA et on montre sa différence en tournant le dos à la course sur route.Lorsqu’en 1995, 500 coureurs s’élancent pour la première fois sur les chemins du Larzac, on n’est loin de penser qu’une économie du trail puisse devenir aussi puissante, on n’est loin d’imaginer que l’on puisse suivre à la trace, via internet, un coureur évoluant sur les cimes alpestres. On parle alors de liberté, on fustige les primes d’arrivée, on s’émancipe de la FFA et on montre sa différence en tournant le dos à la course sur route.



PENSEES

 

Courir à perdre la raison. Fouler le sol et ne faire plus qu’un avec les éléments. Déconnecter ses pensées et vivre à fond au gré des chemins. Courir car ce n’est pas une punition. On pénètre en soi comme on entre dans un temple, pour s’y réfugier, prier, comprendre et accepter. Vivre ! Courir pour soi et pour toi. Passer la ligne d’arrivée, épuisé, cassé parfois. Laisser couler les larmes de bonheur et chercher ton regard dans la foule. Courir comme on court sa vie. Se battre dans les montées et se relâcher dans les moments paisibles. Cavaler pour respirer et renaître à chaque pas. Courir parce que ça ne s’explique pas. C’est dans l’expérience que l’on apprend qui on est. Les foulées dévoilent le mouvement perpétuel et t’amènent en toi. (Stéphane Abry)

Les phrases de la semaine et les pensées du moment ont pour simple but de nous arrêter un moment pour réfléchir à la place d'une activité sportive dans notre vie quotidienne et de garder présente à l'esprit cette autre maxime : "La course, l'athlétisme, le trail ... ne sont  jamais que la 2ème ou la 3ème chose la plus importante de notre vie !"

En souvenir d’Yvan Cornet, pionnier du trail à l’ARCH.


" Pour un peu de tendresse Je t´offrirais le temps, qu´il reste de jeunesse à l´été finissant " ( J. Brel )

 

"Personne ne peut vous rendre inférieur sans votre accord" Eleanor Roosevelt

"Le bonheur demande davantage de courage que le malheur." Philippe Val


" Il ne suffit pas de formuler un désir, et de rester passif en espérant sa réalisation. Il faut agir en conscience, jour après jour, avec constance et détermination, pour progresser vers lui.
C' est ainsi que nos vœux se réalisent. "


"Laisse ton esprit s'évader et tes pieds suivre tes rêves " Simon Dubuis


Je voyage non pour aller quelque part, mais pour marcher. Je voyage pour le plaisir de voyager. L'important est de bouger, d'éprouver d'un peu plus près les nécessités et les aléas de la vie, de quitter le lit douillet de la civilisation, de sentir sous mes pieds le granit terrestre et les silex épars avec leurs coupants" Voyage avec un âne dans les Cévennes - Robert Louis Stevenson 


« Si courir était notre seul but, nous passerions à côté de moments inoubliables ! » Anonyme


"La course apporte un soulagement à la tension de la vie quotidienne.... elle développe le sentiment de la valeur personnelle; elle nous aide à nous accepter un peu mieux." Tey Corbitt


"Une longue course est un antidépressif idéal car il est difficile de courir et de s'apitoyer sur soi-même en même temps." James Fixx


"Pendant que nous courons, nous avons le temps de suivre le cours de nos pensées." James Fixx


"En général, toute forme d'exercice pratiqué régulièrement nous aide à acquérir la persévérance. La course à pied est particuliérement efficace." Mao Tse-Toung


"La course nous rend la liberté. Elle nous permet d'adopter le rythme qui nous convient et de penser à tout ce qui peut nous passer par la tête. Nous avons le sentiment que personne n'a de droits sur nous." Nina Kuscik Vainqueur dame Marathon Boston 1972


"Courir, c'est vivre. Le reste n'est que stagnation." Un coureur de Milburn New Jersey


« Chaque étape est une avancée considérable vers la plénitude et la satisfaction profonde. Le voyage spirituel revient à passer de vallée en vallée : le passage de chaque col dévoile un paysage plus magnifique que le précédent. » Mathieu Ricard


"Le plus beau des courages, c'est celui d'être heureux !" Joseph Joubert


"[...]à tenter les cimes, à vouloir des hauteurs toujours plus insensées, on finit par ne plus retrouver le chemin du sol [...]" Michel Onfray


« J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé. » Voltaire


« L’utopie, ce n’est pas l’irréalisable, mais l’irréalisé. » Théodore Monod


« Il n’y a d’homme complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie. » Lamartine – Voyage en Orient


“Il y a des fleurs partout pour qui veut bien les voir.” Natasa Ceribasic Ljubomirovic, psychiatre MSF en Serbie


"Tout effort qui n'a pour but que sa propre glorification est voué au désastre" Robert Pirsig


" Le sport consiste à déléguer au corps quelques-unes des vertus les plus fortes de l'âme" Jean Giraudoux


« Savoir que nul chemin ne reste inaccessible / Pourvu qu'on rêve un jour de s'envoler vers lui » Yves Duteil - La fleur de l'impossible


« Par les soirs bleus d'été, j’irai dans les sentiers. Picoté par les blés, fouler l’herbe menue. Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds. » Rimbaud


« Baisser les bras dans une compétition sous prétexte qu'on ne peut terminer premier est incompatible avec l'esprit du sport. [ ] »Eric Tabarly


« Maître de ton corps, de ta parole et de ton esprit tu jouiras d’une parfaite sérénité » SHABKAR


« Le bonheur est une petite chose que l'on grignote, assis par terre, au soleil. » Jean Giraudoux


"Il faut entretenir la vigueur du corps pour conserver celle de l'esprit." Luc de Clapiers Vauvenarques (1715-1747)


"Marche comme ton coeur te mène et selon le regard de tes yeux." Anonyme


« Il n’y a point de chemin vers le bonheur, le bonheur est le chemin. » Bouddha


“Qui boit l’eau d’une terre étrangère doit en suivre les coutumes” Proverbe mongol


“Le corps, miracle par excellence” Arthur Schopenhauer


« Le chemin le plus court entre deux points … le rêve ! » C. Blaise


“Marcher, c’est se rencontrer à chaque instant” R.Tagore


"Oser, c'est perdre pied momentanément. Ne pas oser, c'est se perdre soi-même." Søren Kierkegaard


"Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce nous n'osons pas qu'elles sont difficiles." Sénèque


" Marcher seul c'est aller plus vite; marcher à deux c'est aller plus loin." Proverbe africain


"Après avoir escaladé une montagne très haute, nous découvrons qu'il y en a encore beaucoup à escalader" Nelson Mandela


"Marcher (ou courir ndlr), c’est se rencontrer à chaque instant !" R. Tagore